Une rentrée solidaire
Bientôt la
rentrée, nos enfants sont scolarisés dans une école très investie auprès
d’associations.
Pour nous, parents, c’était primordial que nos enfants soient sensibilisés au monde qui les entoure.
Ils sont
protégés, gâtés, voire trop gâtés mais ne peuvent ignorer que des enfants, des
familles, des personnes seules n’ont pas les mêmes chances qu’eux.
Notre grand
(9 ans) en a conscience. Quant à la petite, les collectes de l’année dernière
lui ont permis de comprendre que des enfants n’avaient pas assez à manger (la
nourriture est ce qu’il y a de plus important pour elle ☺).
Le Secours Catholique œuvre depuis plus de 70 ans. Les causes sont multiples.
Il ne m’est
pas possible de lister l’ensemble des actions du Secours Catholique tant elles
sont nombreuses. Il œuvre depuis plus de 70 ans contre la pauvreté et
l’exclusion. Certaines me touchent tout particulièrement.
Les dons
permettent à des familles
de partir en vacances, même
quelques jours. Ces dernières peuvent même rejoindre d’autres familles afin de
partager des moments et d’échanger avec d’autres personnes, loin d’un quotidien
souvent très lourd. Les familles sont impliquées dans leur projet de vacances.
Le Secours Catholique a compris depuis bien longtemps qu’il n’est pas nécessaire
d’infantiliser pour aider mais d’accompagner, de guider. Il s’agit de redonner
de l’estime de soi à des adultes, des papas, des mamans, qui n’ont pas ou plus
les moyens d’emmener leurs enfants en vacances.
Le Secours
Catholique lutte contre la précarité
des personnes âgées et de leur
isolement. Il est difficile de croire que certaines personnes ont travaillé
toute leur vie mais doivent [sur]vivre avec moins de 1100€ par mois. Il est
difficile de lutter contre l’isolement, surtout dans le monde rural. Des
bénévoles se déplacent, organisent des rencontres et offrent des moments de
bonheur et de partage à des personnes âgées de plus en plus dans le
besoin.
crédit : « Eléments graphiques : Freepick – Infographie SC
Le Secours
Catholique propose aussi de devenir parrain d’un enfant, de l’aider et de l’accompagner au fil des mois, c’est une relation
gagnant-gagnant, l’enfant est écouté et partage des sorties avec une personne
adulte retraitée ou disponible à accorder du temps à quelqu’un qui en a besoin.
Les deux parties s’enrichissent mutuellement de leurs différences respectives.
Il y a
toujours beaucoup trop de pays bien moins chanceux que la France. Des hommes
n’ont toujours pas ou peu
accès à l’eau potable. En
naviguant sur le site du Secours Catholique j’ai pris conscience de la gravité
de la situation en Éthiopie. Il ne pleut presque plus depuis plus de 3 ans. Il
n’y a plus de pâture, la crise alimentaire est générale. Le Secours Catholique
a soutenu la Caritas locale en permettant de fournir de l’eau potable aux
habitants et aux animaux. Mais ce n’est pas encore suffisant car 50% de la
population n’a pas accès à l’eau potable en zone rurale. Je n’imagine pas une
mère devoir marcher trois heures pour que ses enfants puissent boire.
© JL Perreard
Des actions
il y en a beaucoup d’autres. Et vous l’aurez compris, il manque des personnes
engagées et de fonds pour œuvrer. Certes nous sommes sollicités souvent et
partout mais avec le Secours Catholique, le don, la générosité n’est pas que
financière, si vous avez un peu de temps je vous invite à vous rapprocher de
votre section locale, ou si vous souhaitez devenir parrain ou marraine d’un
enfant n’hésitez pas. Et si, au contraire, vous ne disposez pas de temps vous pouvez
toujours faire un don, en plus vous pourrez déduire 75% de son montant de votre
impôt sur le revenu...
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